Retour à la lecture. Journal inutile de Paul Morand. Il y aurait beaucoup à dire sur l'homme. Un sale type qui savait écrire, comme Picasso était un sale type qui savait peindre. Prendre un soin maniaque de son corps, juger bien ou mal de tout, admirer l'amplitude de son liquide séminal, sans pour autant échapper au naufrage. Et cette obsession de l'argent! Maladive comme chez Céline, inlassablement sur le tapis, bien que sur un autre ton. Typique de qui en a eu trop, ou pas assez.
Aussi, Le Journal d'une femme de chambre d'Octave Mirbeau. Lui m'a rarement déçu. Au lit avec sa Célestine, c'est agréable.
Aussi, Le Journal d'une femme de chambre d'Octave Mirbeau. Lui m'a rarement déçu. Au lit avec sa Célestine, c'est agréable.