Gilles Proulx, quoi qu'on pense du personnage, n'est pas un pied de céleri en matière d'histoire. À juste titre,
il s'insurge contre les tatas qui rapprochent le gouvernement Charest de celui de Duplessis. Qu'il faille plutôt placer John James sur la même marche que
Louis-Alexandre, au panthéon des politiciens québécois dignes d'un oubli salutaire, ça ne fait aucun doute.